1. Revoir la mécanique de votre moto

Pour faire face aux intempéries, votre premier réflexe est donc de vérifier la mécanique de votre deux-roues. Vous devez veiller par exemple à ce que vos freins et vos suspensions fonctionnent correctement et soient aptes à tenir le choc avant de vous aventurer sur une piste humide.

2. Contrôler l’état des pneus

Pour votre petite balade en temps pluvieux, vous devez vous assurer que vos pneus sont suffisamment gonflés. Lors de l’inspection, vérifiez si vos pneus comportent un quelconque signe d’usure ou non. Par ailleurs, il n’est jamais bon de rouler avec des pneus lisses d’autant plus sur une route mouillée. À l’arrivée de la saison pluvieuse, vous devez penser à changer vos pneus avec des types GT. Ceux-ci offrent une meilleure adhérence sur piste et une bonne résistance.

3. Savoir adapter votre façon de conduire

Lorsqu’il pleut, vous devez réadapter votre manière de conduire. En plus de garder un œil sur les autres usagers de la route, il faut aussi ralentir un peu et conduire à une vitesse de 10 à 20 km/h. Il est conseillé de rouler prudemment sans accélérer ni de freiner de façon trop brusque. Il faut aussi éviter dans la mesure du possible les angles et les virages. Pour des pneus laissant des traces, le mieux est peut-être de ralentir afin d’éviter un éventuel glissement.

4. Bien se positionner sur la moto

Sur votre moto, votre position doit être bien droite afin de rouler sur le milieu du pneu (partie la plus chaude). Si vous êtes obligé de vous tourner, adoptez tout simplement une position en déhanché intérieur. Celle-ci va vous permettre de diriger la partie supérieure du corps vers l’intérieur et vers le bas.

5. Voir et être vu

Il faut bien choisir votre casque lors de l’achat de peur d’être envahi de pluie. Misez sur un écran impeccable pour pouvoir avoir une bonne vue. Si nécessaire, utilisez des sprays anti-pluie pour éliminer rapidement l’eau sur votre visière. Pour être vu par les autres conducteurs, notamment lors d’une pluie, disposez tout simplement de filets réflecteurs sur les habits ou de gilet jaune.

L’avènement des motos chinoises

Depuis quelques années, les motos de marque chinoise se sont lentement introduites sur le marché occidental. Même avec la crise sanitaire de 2020, l’industrie des deux roues n’a pas faibli, suivez toute l’actualité sur les deux roues sur Esprit Moto. Les marques chinoises n’ont d’ailleurs plus la réputation d’avoir une mauvaise qualité. En effet, les constructeurs se focalisent désormais sur le rapport qualité-prix qui les avait autrefois empêchés d’atteindre un public plus large. Ainsi, les marques telles que CF Moto ou Zontes séduisent de plus en plus de monde. Évidemment, certains de ces modèles asiatiques ressemblent à des copies à peine déguisées. Ce n’est toutefois pas un point qui les pénalise fortement puisqu’il est plus ou moins normal que les marques s’inspirent entre elles. De plus, il est difficile de réinventer le deux-roues en permanence. Si vous avez la possibilité de retrouver un design qui vous plaît avec quelques bonus en prime sur un modèle moins cher, alors vous aurez vraiment de bonnes raisons de vous laisser tenter.

Un potentiel qui commence à se faire remarquer

La production du deux-roues en Chine est impressionnante et le nombre de constructeurs l’est aussi. Les constructeurs qui ont un volume de production important en Chine sont notamment Haojue, Loncin et Zongshen. Ils ont chacun enregistré plus de 1 million de ventes en 2019. En comparaison, Harley-Davidson qui est pourtant une marque célèbre a enregistré moins de 300 000 ventes. Cela s’explique toutefois par le fait que les marques chinoises ciblaient uniquement une clientèle locale. Sur le marché européen et américain, seuls quelques-uns d’entre eux arrivent à se démarquer. Certains noms comme CF Moto, Voge et Zontes n’ont par exemple commencé à s’illustrer que récemment. Quoi qu’il en soit, leur expertise dans le domaine des deux-roues n’est plus vraiment à démontrer. CF Moto est, par exemple, considéré comme l’un des meilleurs lorsqu’il s’agit de quad même si, pour ce qui est des motos, il ne brille pas beaucoup pour l’instant. Ce constructeur a fait évoluer ses offres au fil des années. Désormais, il propose une gamme de véhicules allant de 125 à 650 cc.

Les motos chinoises vont-elles tout chambouler ?

Si les constructeurs chinois produisaient surtout de petites cylindrées à une certaine époque, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Désormais, il est possible de trouver de vrais bolides chinois sur le marché. Cependant, les consommateurs européens ne comptent pas se précipiter malgré la vague de motos asiatiques aux prix alléchants qui déferle sur le marché. Pour de nombreuses personnes, le Made in China est encore synonyme de bas de gamme. Il faudra encore un certain temps pour que cela change. D’autres critiquent, quant à eux, le manque d’innovation des marques émergentes. Malgré tout, il est certain qu’avec l’apparition de nouveaux concurrents, les grandes marques déjà bien établies ne risquent plus de se reposer sur leurs lauriers.

L’électricité, une alternative économique

La principale raison pour laquelle les consommateurs optent pour les modèles électriques est leur prix attractif. En effet, vous pouvez facilement trouver une moto à partir de 2500 €, même si les modèles plus élaborés coûtent plus cher. D’ailleurs, vous pouvez même bénéficier d’une aide financière sous forme de prime pour l’achat d’une moto électrique.

Outre l’investissement peu élevé, le coût de l’électricité est largement inférieur à celui de l’essence. Sachez qu’une recharge vous coûtera moins d’un centime. D’ailleurs, si vous bénéficiez d’une bonne autonomie de batterie, vous pouvez vous passer de la recharge à chaque fois que vous prévoyez de sortir.

Par rapport aux modèles à combustion, vous aurez moins de dépenses au niveau de l’entretien. Contrairement à un moteur thermique, le moteur électrique n’a besoin d’aucune vidange.

La moto électrique, une solution peu polluante

Les motos électriques sont des solutions peu polluantes, que ce soit en matière de pollution atmosphérique ou de pollution sonore. Comme vous devez déjà le savoir, les engins électriques ne produisent aucune fumée. De plus, ils sont totalement silencieux. Cela vous permettra de profiter pleinement du confort de votre moto et d’apprécier votre trajet. Il faudra juste être prudent sur la route, car votre moto ne se fait pas entendre.

Un engin performant

Les technologies actuelles ont permis de produire des motos et des véhicules électriques plus performants. Si autrefois, leur autonomie se limitait à une centaine de kilomètres, certains modèles peuvent désormais en parcourir plus. Certains bolides peuvent même vous porter sur 300 km.

Il est également possible de profiter d’un engin puissant, car les cylindres sont désormais plus grands. Si certains modèles ne requièrent pas de permis, les motos performantes, elles en ont besoin. Sachez, par exemple, que le permis A2 n’est adapté qu’aux motos de moins de 35 kW. Pour conduire un engin d’une puissance supérieure, vous devez obtenir votre permis A.

De bonnes raisons de louer une moto en île-de-France

Pour arriver rapidement au travail à Paris, l’idéal reste de louer une moto. La location est un service très utile pour les personnes qui ne souhaitent pas circuler en transports en commun ou à pied. La moto offre en effet une plus grande capacité de mobilité par rapport à la voiture et les transports en commun. Oui, pour éviter les embouteillages et être à l’heure à un rendez-vous, la moto est la plus rapide et pratique.

Mais le service de location de motos en Île-de-France n’est pas seulement pratique pour les Parisiens, mais également pour les touristes. Avec une moto, il est aisé pour les touristes de trouver une place de parking pour la garer. Sa petite taille et sa faible consommation de carburant leur permettent également de faire des économies. Ils ne vont pas également perdre leur temps dans les embouteillages, car la moto permet de se faufiler entre les voitures. Cela leur permet d’apprécier plusieurs sites touristiques en ville en moins de temps, de visiter des endroits qui peuvent être plus éloignés ou inatteignables en voiture.

Une moto, en plus d’être pratique et économique, est aussi moins moins polluante qu’une voiture. Elle répond également aux besoins de ceux qui aiment la vitesse. Enfin, la location de moto peut se faire en ligne.

Le coût d’une location de moto dans l’Île-de-France

Le prix de la location dépend des propriétaires et du type de moto choisi, ainsi que du nombre d’heures de conduite. Suivant la durée du service, vous découvrirez des tarifs adaptatifs.
En fonction du budget de chaque pilote, il est possible de trouver une option adéquate. Dans tous les cas, il ne faut pas oublier que la location d’une moto a un nombre limité de kilomètres pouvant être parcourus en une seule journée. Si cette borne est dépassée, il est probable qu’un montant supplémentaire doit être acquitté.

Trouver facilement une moto à louer en ligne

Trouver une moto pour découvrir l’Île-de-France se révèle simple aujourd’hui. Il suffit de consulter les offres en ligne disponibles dans la région. On choisit le modèle de véhicule le plus adapté à ses préférences, ses impératifs et son budget. Le réceptionnaire clique ensuite sur l’engin et sa description apparaît.
Une fois la sélection faite, une demande de location sera envoyée directement. En cas d’éligibilité, il ne reste plus qu’à réaliser le paiement et récupérer la moto.
Ces services de location en ligne permettent d’effectuer toute la procédure sans même devoir sortir de chez soi. Une économie de temps et d’efforts qui vaut la peine d’être prise en compte. Le conducteur trouvera des prix justes pour chacune de ses locations et des garanties de couvertures optimales.

Quelques formalités à respecter

Bien que vous ne soyez pas le propriétaire de la moto, vous devez disposer d’un permis permettant de conduire la machine que vous louez en Île-de-France. Vous devez respecter le règlement de la circulation routière de la même manière que si vous en étiez le détenteur. Vous devez donc être titulaire d’un permis moto avant de pouvoir la piloter dans Paris. Une amende vous sera également infligée en cas de non-respect du Code de la route. Si vous souhaitez louer une moto BMW, par exemple, vous pouvez le faire en vous adressant à un spécialiste de cette activité ou une plateforme dédiée pour trouver un propriétaire.

En faisant par exemple une location de moto sur Paris et IDF avec Club Scooter, le client peut conclure un accord de location pour un jour, mais aussi pour une semaine, un mois ou même un an. Généralement, les prestataires en location de moto vous remettent la documentation complète du véhicule et les équipements de protection requis pour la conduite des deux-roues. Vous disposerez également d’une moto bien entretenue, d’un plein d’essence et d’une couverture d’assurance adaptée. Quant au locataire, de son côté, il doit donner une photocopie de sa pièce d’identité au loueur, de même que la copie de son permis. Il fournira une caution et une carte de crédit.

Si vous voulez rouler en moto pour circuler librement, gagner du temps, faites une location de moto sur Paris et IDF avec Club Scooter.

Faire une inscription

Deux possibilités s’offrent à vous : vous inscrire dans une auto-école ou passer en candidat libre auprès de la préfecture de la région.

1 – Inscription par une auto-école

S’inscrire dans une auto-école est la solution la plus pratique pour obtenir un permis moto. Celle-ci se charge de votre inscription. Il vous suffit tout simplement de fournir les documents nécessaires :
– Carte et photos d’identité ;
– Justification de domicile ;
– Avis médical pour les personnes handicapées ;
– Une copie du certificat de JDC ou une attestation provisoire en instance de convocation à la JDC ou un certificat d’exemption pour les moins de 25 ans ;
– Un justificatif de régularité du séjour pour les étrangers.

Ensuite, vous devez activer un compte créé en votre nom pour obtenir un numéro d’enregistrement préfectoral harmonisé (NEPH).

2 – Inscription par soi-même

Si vous souhaitez avoir votre permis sans devoir vous inscrire dans une auto-école, une alternative est de faire l’inscription vous-même. Pour ce faire, rendez-vous sur le site de l’ANTS. Vous pouvez ainsi obtenir vos identifiants. Ensuite, vous devez remettre les documents nécessaires pour passer l’examen.

Être éligible aux conditions requises

Tout candidat doit être âgé d’au moins 18 ans. Pour ceux qui veulent obtenir un permis A2, ils doivent avoir plus de 21 ans et être en possession d’une attestation scolaire de sécurité routière de 2nd niveau (appelé plus communément ASSR2) ou une attestation de sécurité routière (ASR). Dans le cas où vous auriez perdu les papiers, n’hésitez pas à faire une déclaration sur l’honneur.

Pour information, il faut passer le permis A2 pour conduire un 3 roues d’une puissance supérieure à 15 kilowatts. De même, il est nécessaire d’avoir 2 ans de pratique, puis suivre une formation complémentaire de 7 heures minimum.

La puissance du moteur de la moto électrique

Le marché met à disposition des motos électriques avec des moteurs de différentes puissances exprimées en CC. Les motos électriques les plus basiques disposent généralement d’un moteur de 50 cc. Cela signifie que votre engin bénéficie d’une puissance de 2200 W, ce qui limite sa vitesse à 45 km/h.

Pour une moto plus performante, optez pour les modèles à « gros cylindré ». Cette expression s’applique aux motos électriques, même si celles-ci ne disposent pas réellement de cylindres. Avec un modèle 125 cc, vous bénéficierez d’une puissance de près de 5000 W, ce qui vous permettra de rouler à 100 km/h. Notez que le permis dont vous aurez besoin dépend également de la puissance de votre moteur. Aucun permis n’est nécessaire pour conduire une moto de 50 cc. D’ailleurs, ces modèles sont accessibles dès 14 ans. En revanche, pour être au volant d’un bolide de 125 cc, il est obligatoire d’avoir un permis B.

L’autonomie de la moto électrique

L’autonomie de la batterie est également un critère important dans le choix de votre moto électrique. Les batteries les plus performantes sont celles en lithium-ion ou en lithium-Polymère. Si vous envisagez de voyager avec votre bolide, vous aurez besoin d’une moto suffisamment autonome pour arriver à destination. Actuellement, de nombreux constructeurs proposent des modèles pouvant parcourir près de 350 km. C’est notamment le cas des engins de 125 cc. Les modèles à 50 cc, quant à eux, sont généralement équipés d’une batterie avec une autonomie de 170 km. Bien sûr, ces valeurs peuvent varier selon le type de route que vous empruntez, les pentes à parcourir, etc. Le poids du conducteur et le mode de conduite peuvent, par exemple, réduire l’autonomie d’une moto électrique.

Dans tous les cas, les modèles dotés d’un système de contrôle électronique BMS (Battery Manager System) sont intéressants. Cet équipement vous permettra de gérer le fonctionnement de la batterie.

La marque de la moto électrique

La marque d’une moto électrique peut influer sur sa qualité. Certaines marques proposent des modèles urbains et des modèles tout terrain. Certaines proposent même des designs de motos électriques à s’y méprendre aux motos de compétition. C’est notamment le cas de Zéro Motorcycles, une marque disponible sur https://www.purerider.fr/. L’enseigne Harley-Davidson, quant à elle, propose une gamme de motos électriques dans le même style que les modèles mythiques d’autrefois. Il est également intéressant de se tourner vers les producteurs qui garantissent leurs modèles. Vous pourrez ainsi profiter d’un service après-vente pour assurer l’entretien de votre moto.

Le prix d’une moto électrique

Tous ces critères influent sur le prix d’une moto électrique. En effet, un engin moins puissant est moins cher. Avec un budget de 2000 €, vous pouvez vous acheter un modèle de 50 cc. En revanche, une moto puissante de la marque Zéro motorcycle vous coûtera aux alentours de 20 000 €. Ceci étant, sachez que l’État propose une subvention pour l’achat d’une moto électrique.

Conseils pour circuler en toute sécurité

Conseil n°1 : La visibilité à moto
Un critère primordial en ville, mais même en campagne, c’est de scruter autour de soi en permanent. Faites le maximum pour être visible par les chauffeurs. Allumez votre feu de croisement et collez un autocollant rétroréfléchissant sur le casque. Si vous résidez dans une agglomération, privilégiez pour une tenue visible. En cas de mauvais temps, portez un gilet ou un brassard jaune.
Conseil n°2 : L’anticipation
Une auto qui freine, un piéton qui traverse, une portière de voiture qui s’ouvre, voire un refus de priorité, etc., vous ne serez en aucun cas à l’abri donc prenez vos distances et adaptez votre vitesse. Vos doigts doivent être en permanence près du levier de frein, car les automobilistes ne vous verront même pas.
Conseil n°3 : Privilégier la sécurité : roulez entre les files à moto
Soyez vigilant par rapport aux autres motards, qui roulent très vite, car ils sont pressés et des dangers publics. De même, beaucoup de chauffeurs changent de file sans se soucier de qui que ce soit. Faites également aux camions. Et surtout, respectez les règlements : rouler en inter-files pour ne pas être pénalisé.
La conduite en ville à moto sollicite une double concentration, prenez toujours en compte votre environnement et les voitures qui vous entourent avant toute prise de décision. Pour finir, gardez toujours en tête qu’en ville, les risques sont énormes tels que circulation, piéton, intersections.

Qu’a-t-elle de si spécial ?

Depuis sa construction, la Kawasaki Ninja H2R a subi quelques modifications et améliorations, pas forcément grandioses ni visibles mais extrêmement efficaces. C’est ainsi que cette moto est dotée d’une centrale inertielle multiaxes, un shifter fonctionnant à la descente des rapports et un amortisseur Öhlins TTX36. Les leviers de frein et d’embrayage ont été percés pour augmenter son aérodynamisme. Bien que de nombreuses motos aient frôlé la folie, la Kawasaki Ninja H2R atteint les sommets. C’est une sportive surréaliste et délirante, tellement puissante. Avec 326 chevaux en effet, on peut parler d’une fusée ! C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle est réservée au circuit.

Accélération extraordinaire

Il est impossible de rouler avec une Kawasaki Ninja H2R sur les voies publiques. C’est la version H2, plus posée, plus pondérée que l’on peut conduire en ville car elle a 100 chevaux de moins. Mais la H2R à 4 cylindres de 998 cm³ est de surcroît boostée par un compresseur spécifique. Ce n’est pas son moteur mais son compresseur qui fait que cette moto est aussi puissante et grâce auquel elle bénéficie d’une accélération extraordinaire. Elle peut dépasser allègrement les 350 km/h et atteindre les 400 km/h, un truc de dingue, en tout cas, du jamais vu ! Tout en elle, jusqu’à son allure incroyable, fait d’elle une championne toutes catégories.

Vous êtes plus exposé aux risques

La moto est beaucoup plus légère que la voiture. Par conséquent, elle peut rouler beaucoup plus vite. Malheureusement, au contraire de la voiture, la moto ne possède pas de pare-choc ou de carrosserie, ce qui ramène au fait qu’un seul faux pas pourrait blesser le conducteur et le passager, voire les tuer.
Encore plus terrifiant, les autres conducteurs pourraient mettre votre vie en grand danger s’ils sont distraits sur la route, ne serait-ce que pour une seconde. Comme quoi, votre vie dépend également des autres quand il s’agit de moto.

Une probabilité de blessures beaucoup plus élevée

Si l’on continue dans cette logique, un accident de voiture n’est pas forcément corporel. Il se peut que seuls des dégâts matériels soient constatés. Tandis que pour la moto, il est rare que les personnes concernées s’en sortent indemnes.
Généralement, un accident de moto atteint toujours l’intégrité physique du conducteur et du passager. Comme il n’y a aucune barrière qui les protège, le choc corporel semble inévitable, raison pour laquelle les protections sont essentielles.

Les critères d’achat d’un casque moto

• La taille : elle doit être proportionnelle à votre tête pour un meilleur confort. Le port trop juste d’un casque peut se faire sentir au kilométrage.
• Le poids : Il varie selon les matériaux utilisés et pèse entre 1100 g à 1800 g suivant le modèle. Pour éviter les douleurs musculaires et ne pas paralyser les mouvements de tête, choisissez un casque dont le poids est raisonnable par rapport à votre
forme.
• La ventilation : elle permet d’évacuer les buées et évite le surchauffage.
• La sécurité : elle dépend du choix de casque. Un casque qui recouvre entièrement le visage apporte un maximum de protection. Il faut prendre en compte également des conditions rencontrées pendant la conduite comme la météo ou l’état des routes.
• L’étanchéité : assurer par le joint de l’écran, elle peut varier selon le modèle.
• Le confort : c’est réunir une conduite agréable en toutes circonstances.
• Les matériaux : Que le casque soit en fibres, en carbone ou en thermoplastique, l’essentiel est qu’ils assurent la sécurité en ayant la meilleure absorption de choc. Le reste influe sur le prix et le poids du casque.
• Les options : certains casques présentent des oreillettes, des cache-nez, des bavettes… à vous de décider de la pertinence de ces options.

Bien choisir parmi les différents casques

• Le casque jet : couvrant moins de surface, il est adapté à une conduite citadine lorsque la vitesse est limitée. Il permet un large champ de vision, mais offre moins de protection surtout en cas de choc frontal.
• Le casque intégral : Modèle très couvrant, il offre une protection maximum en vitesse importante.
• Le casque modulable : C’est l’hybride entre casques jet et casque intégral.
• Le casque tout terrain : C’est un casque léger et destiné au sportif